Le mythe des Valyriens

Alzen mangea tranquillement avec lui, fatigué de cette sortie !

Kitesh déposa un baiser sur son front: "Quand j'irai mieux, tu pourras mordre."

Alzen sourit et l'embrassa:"Pas de soucis"

Kitesh sourit: "En attendant, on a tout les deux besoin de dormir tôt !"

Alzen hocha la tête:"Oui, allons y"

Kitesh: "Moi j'ai besoin d'une douche avant."

Alzen sourit:"Je peux t'accompagner ? J'ai envie de câlins !"

Kitesh rit légèrement: "Bien sûr."

Alzen sourit et l'accompagna donc pour le câliner et profiter d'un moment tout doux.

Moment tout doux qui se prolongea dans le lit, l'un blottit contre l'autre.

Alzen ronronnait encore et toujours, il se sentait si bien... et s'endormit très rapidement, comme une souche !

Kitesh s'endormit peu de temps après lui.

Le lendemain matin, Alzen sorti alors que Kitesh dormait encore.

Kitesh se réveilla assez tard et s'étira un long moment. Il se sentait tout endolori ! Mais il lui semblait que la fièvre était déjà moins forte, ce qui était une bonne chose.

Alzen ne revint à la maison qu'en début d'après-midi, affamé !

Kitesh sourit: "Alzen !"

Alzen sourit et lui sauta, doucement, dessus pour l'embrasser:"Salut Kitty, bien dormi ? Comment tu te sens ?"

Kitesh sourit et prolongea le baiser: "ça va ! Où étais-tu ?"

Alzen:"Je suis aller travailler, les tempêtes de neige ont un peu abimé ce qu'on avait fait et ça risque d'être pire si on ne termine pas le gros œuvre très rapidement"

Kitesh: "Je suis désolé d'être inutile..."

Alzen lui caressa le visage:"Ne t'en fais pas"

Kitesh: "Comment vont tes blessures ?"

Alzen sourit:"Ça tire pas mal... J'ai soigné à nouveau ce matin et ça avait bonne tête"

Kitesh hocha la tête et déposa un baiser sur son front.

Alzen sourit et resta un petit moment dans ses bras avant de proposer:"Restes de ragout ?"

Kitesh hocha la tête: "Oui !"

Alzen se leva et alla faire réchauffer le tout avant de les servir.

Kitesh sourit: "Bon appétit !"

Alzen lui souhaita la même chose et dévora, il était affamé !

Kitesh rit légèrement: "Tu ne seras jamais rassasié avec le peu qui reste..."